Extraordinaire culot de l’ancien ministre qui, interrogée sur France 2, ose cette énormité.
Mais au nom de quoi des fanatiques vont-ils se faire tuer et massacrer au Moyen-Orient ? En quête de quel paradis agissent-ils ? Pas le paradis
chrétien en tout cas, et pas sur l’incitation de l’Evangile ou selon l’imitation du Christ…
Du point de vue racial, les médias et les politiciens sont trop heureux d’avoir trouvé un authentique Français s’étant fait tuer en Syrie, après s’être converti (à quoi ? A-t-on encore le droit de le dire ?).
Ils omettent la cinquantaine d’autres radicaux musulmans exportés par la France et tués aussi, qui sont tous des étrangers à papiers français.
Ils se gardent bien d’évoquer aussi les circonstances générales dans lesquels des Français se convertissent à l’islam ; à savoir une immigration de peuplement sur notre sol (qui les met en contact avec des prosélytes), la destruction des repères identitaires et civilisationnels français, l’éradication minutieuse de la Religion, l’ethno-masochisme qui fragilise leur personnalité, etc.
Dans la nuit du 15 au 16 novembre 1937, le CSAR (Comité secret d’action révolutionnaire), dit « la Cagoule » mais originellement nommé l’OSARN (Organisation secrète d’action révolutionnaire nationale), mobilise secrètement ses effectifs en région parisienne, les tenant prêts à intervenir, dissimulés à côté de différents dépôts d’armes.

Pendant des heures, un très long cortège a traversé la capitale dans une atmosphère sereine et convaincue, au slogan de « Dieu, honneur et patrie ! » avant d’aboutir près du stade national, où des heurts ont éclaté avec les forces « de l’ordre », tandis que les responsables nationalistes polonais haranguaient la foule.
Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur système.
Alexis Carrel fut l’un des plus grands savants de la première moitié du XXe siècle : pionnier de la chirurgie vasculaire, il obtint en 1912 le prix Nobel de physiologie ou médecine « en reconnaissance de ses travaux sur la suture vasculaire et la transplantation de cellules sanguines et d’organes», devenant à l’époque à la fois le plus jeune lauréat et le premier scientifique récompensé pour ses travaux hors de son propre pays.
Dans un élan de clientélisme et de mépris de soi, le politicien et maire de Pau François Bayrou a inauguré le 25 octobre une « allée Abd El-Kader ».