29 septembre : la saint Michel !

Aujourd’hui, fête de l’archange Saint Michel, qui est très populaire chez les Chrétiens.
Entre autres titres, il est vainqueur de Lucifer, chef de la « milice céleste », « défenseur de la foi », introducteur des âmes dans la lumière divine, mais aussi… ange protecteur de la France !

Il est le patron des soldats (et en particulier des parachutistes) et de nombreux corps de métier.

C’est aussi le saint patron du Renouveau français, qui le fête aujourd’hui. Ci-dessous un article de présentation de l’archange que j’avais signé il y a une dizaine d’années dans L’Héritage.

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« Fruits et légumes de saison »

Tel était le thème du « Libre journal de la France profonde » diffusé en direct sur Radio Courtoisie le 6 septembre 2016 à 21h30.

Pierre de Laubier nous a aussi parlé de l’Église face à la Grande Guerre.

On peut entendre l’émission ici :

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Mes invités étaient :

  • Quentin Delmond, distributeur de fruits et légumes de saison à Paris XVe : site de sa boutique ici.
  • Pierre de Laubier, enseignant.

Vous pouvez écouter la radio en direct sur son site ou sur la bande FM :

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Najat Vallaud-Belkacem veut rendre la scolarité obligatoire de 3 à 18 ans !

najatvbAu lieu de 6 à 16 ans actuellement.

« Najat Vallaud-Belkacem l’a annoncé le week-end dernier. Alors qu’elle intervenait, samedi, à l’Université PS de l’engagement, qui se tenait à Lomme, près de Lille, la [sic] ministre de l’Education nationale a annoncé par un tweet l’une des mesures phares du programme du PS en matière d’éducation en vue de la prochaine présidentielle.

« Pour aller plus loin sur l’Education, je proposerai d’étendre la scolarité obligatoire de 3 à 18 ans », a ainsi écrit Najat Vallaud-Belkacem, sur Twitter. » (source BFMTV)

Alors que les enfants sortent désormais illettrés des lycées, qu’on leur bourre le crâne de mensonges dans le domaine historique et de perversions dans le domaine des mœurs, le gouvernement estime qu’il n’a pas suffisamment de temps pour formater les jeunes Français selon son ignoble idéologie…

16 septembre 1943 : les Américains attaquent Nantes

nantes

Le 16 et le 23 septembre 1943, les Alliés ravagent démocratisent la ville de Nantes.
Leurs bombardements massifs font 1463 morts et 2500 blessés civils.

700 maisons et immeubles sont détruits et près de 3 000 rendus inhabitables, sans que l’on voit bien l’intérêt militaire de raids aussi meurtriers.
De Gaulle ne s’offusquera naturellement pas.

Sur ce thème, on pourra lire Quand les Alliés bombardaient la France, d’Eddy Florentin (disponible ici).

15 septembre 1700 : mort d’André Le Nôtre

André Le Nôtre, né à Paris en 1613, fut jardinier du roi Louis XIV de 1645 à 1700 et eut notamment pour tâche de concevoir l’aménagement du parc et des jardins du château de Versailles, mais aussi celui de Vaux-le-Vicomte et Chantilly.

Fils et petit-fils d’un jardinier des Tuileries, André Le Nôtre suit des cours d’art dans l’atelier du peintre Simon Vouet avant de prendre la succession de la charge paternelle. Dans la lettre d’accréditation du 26 janvier 1637 signée de Louis XIII, le roi lui donne du «cher et bien-aimé», preuve que le jeune homme connaît déjà les manières de la Cour.
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C’était un 5 septembre…

Lecture de l’ordre de déportation. Tableau de Charles Jefferys

1755 : début de l’expropriation et de la déportation impitoyable des Acadiens par les Anglais, connue sous le nom de « Grand dérangement ». Les Acadiens, Français installés en Amérique du Nord, peuplaient plusieurs régions du Canada actuel. La plupart d’entre eux furent victimes de ce « nettoyage ethnique » par les Britanniques : 15 000 déportés environ, dont beaucoup mourront au cours de ces tribulations, et dont de nombreuses familles furent dispersées.

1792 : fin des « Massacres de septembre », commencés trois jours plus tôt.
1 500 « suspects » ont été exécutés par la République dans les prisons parisiennes.

1793 : Bertrand Barrère de Vieusac, président de la Convention, déclenche une nouvelle vague d’arrestations. Il fait voter un décret stipulant : « la Terreur est à l’ordre du jour ». 12 000 personnes périront sans jugement parmi les 40 000 qui disparurent pendant la période.

1914 : héraut de Jeanne d’Arc et chantre de la patrie charnelle, l’écrivain Charles Péguy, lieutenant au 276e RI, tombe d’une balle en pleine tête à Villeroy (Seine-et-Marne), à la veille de la bataille de la Marne, alors qu’il entrainait ses hommes.
Après sa mort, Maurice Barrès écrit :
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C’était un 3 septembre… 1792 : l’effroyable assassinat maçonnique de la princesse de Lamballe

[Un texte tiré de la revue L’Héritage]

Parlant des Francs-Maçons et de leurs forfaits, dans son admirable encyclique Humanum Genus, le Pape Léon XIII a écrit ces lignes : « Il n’est pas rare que la peine du dernier supplice soit infligée à ceux d’entre eux qui sont convaincus, soit d’avoir livré la discipline secrète de la Société, soit d’avoir résisté aux ordres des chefs ; et cela se pratique avec une telle dextérité que, la plupart du temps, l’exécuteur de ces sentences de mort échappe à la justice établie pour veiller sur les crimes et pour en tirer vengeance. »

Rien n’est plus vrai, en effet.

La Franc-Maçonnerie profite de toutes les circonstances pour frapper ceux dont elle a décidé la mort.

Quand ses victimes sont des personnages en vue, elle prend, d’ordinaire, ses mesures pour que l’assassinat soit mis sur le compte des passions politiques ; ainsi elle opéra surtout pendant la Révolution. Par exemple, il est certain que plusieurs meurtres essentiellement maçonniques furent commis à Paris, à la faveur des horribles massacres de septembre.

Citons le cas de la princesse de Lamballe.

Cette infortunée princesse, qui fut – personne ne l’ignore – l’amie dévouée de la reine Marie-Antoinette, avait eu la faiblesse, en 1777, de se laisser affilier à la Franc-Maçonnerie, dont elle ne soupçonnait pas les tendances.
Le but de la secte était, à cette époque, d’accaparer quelques personnes de la Cour, surtout celles admises dans l’intimité des souverains. La princesse aimait les fêtes ; on la prit par son faible.

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C’était un 2 septembre…

1792 : début des massacres de septembre : 1532 personnes sont exécutées par les républicains.
Ils sont perpétrés sciemment pour terroriser la population parisienne et réduire les modérés au silence. Le règne de la Terreur s’instaure. A la tribune de l’Assemblée nationale, le ministre de la Justice, Danton, demande que tous les citoyens refusant de servir la « patrie » soient punis de mort. Un opuscule sur ce terrible épisode a été écrit par l’abbé Portail.

1914 : le Times de Londres lance l’un des grands bobards de la Première guerre mondiale (préfigurant ceux de la Deuxième) : les soldats allemands coupent les mains des enfants en Belgique.

1919 : le général antibolchevique des armées blanches, Anton Denikine, pénètre dans Kiev.

1941 : à Moscou, le Bulletin du Soviet suprême annonce que la population des Allemands de la Volga a été intégralement déportée parce qu’elle cachait des ennemis du peuple soviétique en son sein. La déportation s’est faite dans des wagons à bestiaux et la proportion de décès au cours du transport fut de 50%.

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