1796 : Nicolas Stofflet, l’un des principaux chefs militaires vendéens, est fusillé par les républicains.
Avant de mourir, il donne sa montre à un soldat du peloton d’exécution, d’origine lorraine comme lui. Les républicains lui coupèrent la tête afin de l’exhiber dans la ville d’Angers…
1916 : les Allemands pénètrent dans le fort de Douaumont, pratiquement désert, considéré par l’état-major comme « impropre au combat » en 1915. Les Allemands réarment aussitôt le fort, la ligne de front se stabilisant aux alentours. Sa reprise par les Français coûtera près de 100 000 hommes. L’ossuaire de Douaumont, surmonté d’un feu perpétuel, renferme les restes de 300 000 combattants.
1919 : à Tchita (Transbaïkalie), en présence d’un officier japonais, conférence, jusqu’au 28, entre Sémenov, le baron Ungern et des nationalistes mongols en vue de la création de la Grande Mongolie, du lac Baïkal au Tibet. Partisan d’une Russie unifiée, l’amiral Koltchak est hostile à ce projet.
1948 : les agitateurs communistes, bien que minoritaires, prennent le pouvoir en Tchécoslovaquie, avec la neutralité des alliés capitalistes : c’est le coup de Prague.
1963 : enlèvement sur le territoire allemand, par des barbouzes gaullistes françaises, d’un des principaux chefs de l’OAS, le colonel Antoine Argoud.
En 1981, en Espagne, alors que le roi Juan-Carlos trahissait tout – en bradant l’héritage du général Franco, à qui il devait son trône – et offrait le pays à la Franc-maçonnerie et à toute la racaille politicienne, la situation politique avait rapidement dégénéré.
Le 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (excepté le Japon).
Maurice Barrès est mort en 1923. Le document sonore ci-dessous est le seul où l’on peut entendre sa voix.