Communiqué : « Le cosmopolitisme, c’est la guerre ! »

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Le cosmopolitisme, c’est la guerre !

L’Europe est à nouveau frappée par des attentats meurtriers.
Pendant ce temps, le gouvernement français inonde le peuple d’une honteuse propagande dénonçant ses prétendues tendances « racistes », « islamophobes », « antisémites », etc. Une campagne de culpabilisation et de diversion très coûteuse et parfaitement contraire à la réalité.

molenbeekDes agressions, viols et meurtres à connotation raciste ont lieu en effet en grand nombre en France, mais ce sont les Français qui en sont victimes et quasiment jamais les auteurs.
Une guerre se fait jour sur le sol d’Europe (et il y a en France de nombreux « Molenbeek »), mais elle n’est pas initiée par les Blancs, qui ont été trop gentils et accueillants.
Le principe de réalité se rappelle douloureusement aux Européens, qui doivent garder en tête, comme l’histoire le prouve, qu’une société multiraciale est une société multi-conflictuelle.

La « campagne antiraciste » du gouvernement, si déconnectée des réalités, signifie qu’il a peur. Peur non pas du terrorisme et des véritables menaces – dont il est responsable -, mais peur d’un réveil populaire qui s’opposerait à l’idéologie de l’Oligarchie politico-médiatique et in fine à sa domination.

Le rejet de l’invasion migratoire, le refus de l’entreprise de culpabilisation et de reniement national, et plus encore l’essor du nationalisme sont en effet les vrais sujets d’inquiétude de la caste dominante.

Jamais l’antagonisme entre l’idéologie cosmopolite au pouvoir et les intérêts du peuple n’a été aussi palpable.

S’il y a encore des Français qui croient de bonne foi – sous les coups des médias et de l’« Éducation nationale » – que le « nationalisme c’est la guerre » et que l’abolition des frontières est l’assurance de la paix, il nous revient de leur ouvrir les yeux au plus vite, aidés hélas par des faits qui confirment évidemment les analyses du mouvement national depuis des décennies.

La seule issue est le rétablissement de pouvoirs publics animés d’un sain nationalisme, c’est-à-dire qui ont en tête ce qu’est réellement une nation et qui ont à cœur de défendre ses intérêts, au premier rang desquels sa sécurité, sa souveraineté, son identité, sa cohésion, son homogénéité.
Clamons haut et fort que « le cosmopolitisme, c’est la guerre » et que le « nationalisme, c’est la paix » !

Thibaut de Chassey
Directeur du Renouveau français

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Action « non à la franc-maçonnerie dans la justice » devant l’Ecole de la magistrature !

A Bordeaux, devant l’École nationale de la magistrature, les militants du Renouveau français ont dénoncé le rôle de la franc-maçonnerie dans la justice française et exigé « une justice sans tablier » !

tract-FM-miniVoici le contenu du tract imprimé pour l’occasion :

NOUS NE VOULONS PLUS D’UNE JUSTICE EN TABLIER !

Affaire de l’ARC, Affaire Tapie, Affaire du Carlton de Lille, etc.
L’ombre de la franc-maçonnerie plane sur de nombreux scandales.
Si l’implication de cette secte est parfois connue dans de grosses affaires, la plupart du temps, l’implication de celle-ci dans les affaires de justice plus courantes est largement méconnue du grand public.
Et pour cause : la franc-maçonnerie cultive le secret afin de dissimuler le fait qu’elle supprime l’égalité entre les citoyens devant la Justice !

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C’était un 19 mars…

1937 : Pie XI publie l’encyclique Divini Redemptoris : « le communisme est intrinsèquement pervers, et l’on ne peut admettre sur aucun terrain de collaboration avec lui de la part de quiconque veut sauver la civilisation chrétienne ». Jamais un système politique ne fut condamné aussi radicalement par le magistère. On peut retrouver le texte en fin d’article.

1944 : décès, près de Toulouse, du général de Curières de Castelnau, doyen des grands chefs de l’armée française. Né en 1851 dans une vieille famille du Rouergue, il avait participé à la guerre de 1870 dès sa sortie de saint Cyr. C’est lui qui proposera, en 1916, à Joffre de nommer Philippe Pétain au commandement de l’armée de Verdun. La Grande guerre lui aura coûté trois de ses fils. Elu à la chambre bleu horizon, il devient en 1925, président de la Fédération nationale-catholique ainsi que de la Ligue des patriotes.

1946 : Marcel Bucard, chef du Parti franciste (se voulant l’unique équivalent français du fascisme italien), tombe sous des balles françaises à 10h35 au fort de Châtillon, après avoir chanté « Je suis chrétien, voila ma gloire ».
Il avait marché vers le poteau pieds nus, comme les martyrs, vêtu de sa chemise bleue, puis avait prié avec l’aumônier ; refusant le bandeau et une fois attaché, il s’écria « Qui vive ? France ! ».
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C’était un 14 mars : prise de Cholet par les contre-révolutionnaires

Cette journée de 1793, quelques jours seulement après le début du soulèvement des paysans vendéens, ceux-ci sont parvenus à s’organiser et à se trouver des chefs en les personnes de Jacques Cathelineau (simple colporteur et sacristain de Pin en Mauges) et de Jean-Nicolas Stofflet (garde-chasse).
L’« Armée catholique et royale », dont de nombreux membres ne sont armés que de faux, parvient, ce jour du 14 mars 1793, à prendre Cholet, ville importante.

Les 3 pôles d’insurrection vendéenne :
* L’armée du Marais autour de Léger
* L’armée d’Anjou autour de Cholet
* L’armée du centre dans le bocage

Après cette première prise de Cholet et avec un chef à son image, l’armée paysanne progresse vers Chalonnes-sur-Loire (au sud d’Angers) puis Thouars.

La Guerre de Vendée, que Napoléon qualifiera de Guerre de géants a commencé…

Six mois après la prise de Cholet, les Bleus emmenés par Kléber et Marceau, parviendront à récupérer la cité, après des combats acharnés.
En mars 1794, Stofflet reprend la ville. Louis Turreau la fera alors entièrement brûler…

C’était un onze mars : l’assassinat du colonel Bastien-Thiry

Le 11 mars 1963 était fusillé au Fort d’Ivry le lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, 36 ans et père de trois enfants.

Polytechnicien, il avait inventé deux missiles anti-chars.

Il avait organisé l’attentat manqué du Petit-Clamart, pour en finir avec De Gaulle qui avait trahi le peuple, livré l’Algérie française aux mains des égorgeurs et liquidé le camp nationaliste en France.

Fervent catholique, il justifiait cette action par la légitimité du tyrannicide (théorisée par Saint Thomas d’Aquin).

Un très bon petit livre est d’ailleurs sorti récemment sur ce sujet ; il constitue une bonne synthèse : Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide, par l’abbé Olivier Rioult (cliquer ici).

Bastien-Thiry marcha vers le peloton chapelet à la main, laissant derrière lui une forte impression, et l’image d’un héros français et chrétien qui avait porté jusqu’au bout l’idéal du sacrifice.

On peut retrouver cette chanson sur le CD du Chœur Montjoie St Denis, Chants de France XI, ou encore sur la compilation de l’ADIMAD.

C’était un 10 mars…

1793 : à la suite de la décision de la levée en masse de 300 000 hommes à Saint Florent le Vieil, début de la guerre de Vendée, dont la première partie va durer jusqu’au 21 décembre de la même année.
Ce même jour, création du Tribunal révolutionnaire. Une seule alternative : l’acquittement ou la mort. Quelques statistiques sur Paris uniquement : 20% des suppliciés sont des nobles, 9% des membres du clergé, et 71% sont des ouvriers, des artisans ou des paysans.

1861 : prise de Saïgon par les troupes françaises.

1945 : Tokyo est bombardée, de minuit à trois heures du matin, par 279 avions américains portant chacun 7 à 8 tonnes de bombes incendiaires. Bilan : entre 200 000 et 250 000 morts et disparus.

1962 : attentat (faussement) attribué à l’OAS, contre le local du Parti communiste à Issy-les-Moulineaux. Il s’agissait en fait d’une provocation gaulliste.

D’après..

C’était un 9 mars…

1661 : à l’occasion de la mort de Mazarin, Louis XIV décide d’être son propre premier ministre. Il effectue une entrée fracassante au Conseil, en tenue de chasse, fouet à la main. Ses objectifs, avec Colbert, sont de faire rendre gorge aux profiteurs et de ramener la noblesse à la cour.

1945 : à l’initiative de ses nombreux responsables ayant appartenu à la Résistance, le Parti social français de la Rocque doit tenir son congrès mais le gouvernement provisoire annonce que le PSF est et demeure dissous.
En fait, l’Union interfédérale du PSF a été dissoute par le général allemand Oberg le 2 novembre 1942.
Malgré une ordonnance de non-lieu du 22 mai 1946, le parti demeurera interdit pour empêcher la renaissance d’un parti nationaliste.
Signalons que des mémoires (carnets de captivité) du général de La Rocque ont été récemment publiés (voir ici).

1945 : les 9 et 10, coup de force japonais en Indochine. 60 000 Japonais attaquent par surprise 12 000 Français des garnisons de Langson, Hanoï, Hué, Saïgon.
Arrestation des amiraux Decoux et Bérenger, du général Aymé, etc. Massacre à Langson. Décapitations du général Lemonnier et du résident Auphelle (détails dans la note ci-dessous). La colonne Alessandri amorce son repli vers la Chine. Cette action japonaise va semer le chaos en Indochine et porter un coup fatal à la présence coloniale de la France dans le Sud-Est asiatique.

1971 : à l’issue d’un meeting d’Ordre nouveau, au Palais des sports de la porte de Versailles, de violents incidents opposent militants nationalistes et opposants gauchistes. On compte 80 blessés parmi le service d’ordre.

Source

Note :
C’est à Langson, verrou de la porte de Chine, que le courage des Français et la cruauté des Japonais atteignent des sommets. L’état-major nippon tend un traquenard en invitant les autorités civiles et militaires le 9 mars à 18h30.

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8 mars : « journée internationale de la femme »

« Ou plus exactement la journée marxiste-léniniste de la femme, puisque c’est Lénine qui a décrété en 1921 que le 8 mars serait la journée internationale de la femme.

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« 8 mars, jour de rébellion des travailleuses contre l’esclavage de la cuisine », peut-on lire sur l’affiche soviétique ci-dessus : une « travailleuse » tend la main à une femme écrasée par les tâches domestiques (et par une icône de la Théotokos) pour la « libérer »,  en l’envoyant travailler à la chaîne en usine…

Malgré la propagande communiste et libérale, malgré l’obligation qu’ont beaucoup de femmes d’avoir un travail rétribué pour subvenir aux besoins de la famille, malgré l’idéologie dite « féministe » qui fait partie de l’idéologie officielle, un sondage de 20 minutes montrait récemment que la loi naturelle ne se détruit pas si facilement qu’on le croit, et constitue une claque retentissante pour tous les valets du politiquement correct :

82% des femmes jugent plus important d’être mère que d’avoir une carrière professionnelle. »

Source Y. Daoudal