
1755 : début de l’expropriation et de la déportation impitoyable des Acadiens par les Anglais, connue sous le nom de « Grand dérangement ». Les Acadiens, Français installés en Amérique du Nord, peuplaient plusieurs régions du Canada actuel. La plupart d’entre eux furent victimes de ce « nettoyage ethnique » par les Britanniques : 15 000 déportés environ, dont beaucoup mourront au cours de ces tribulations, et dont de nombreuses familles furent dispersées.
1792 : fin des « Massacres de septembre », commencés trois jours plus tôt.
1 500 « suspects » ont été exécutés par la République dans les prisons parisiennes.
1793 : Bertrand Barrère de Vieusac, président de la Convention, déclenche une nouvelle vague d’arrestations. Il fait voter un décret stipulant : « la Terreur est à l’ordre du jour ». 12 000 personnes périront sans jugement parmi les 40 000 qui disparurent pendant la période.
1914 : héraut de Jeanne d’Arc et chantre de la patrie charnelle, l’écrivain Charles Péguy, lieutenant au 276e RI, tombe d’une balle en pleine tête à Villeroy (Seine-et-Marne), à la veille de la bataille de la Marne, alors qu’il entrainait ses hommes.
Après sa mort, Maurice Barrès écrit :
LIRE LA SUITE « C’était un 5 septembre… »

Le « Roi Soleil » a marqué l’Histoire de son empreinte, et son règne coïncide avec un sommet du rayonnement français, en dépit de certaines faiblesses et erreurs, d’un orgueil qui l’aveugla parfois, d’une passion guerrière fort coûteuse, etc.
Chantre de l’« Alsace heureuse », il fut un fin observateur des coutumes et de l’architecture alsaciennes, tout en militant pour le retour à la France.

Lors d’un combat contre les troupes de Charles Quint, un coup d’arquebuse tiré par un soldat anonyme tue le chevalier Pierre Terrail, seigneur de Bayard, homme de guerre français, qui en 1515 contribua d’une manière décisive à la victoire de Marignan.
1886


Dans la nuit du 15 au 16 novembre 1937, le CSAR (Comité secret d’action révolutionnaire), dit « la Cagoule » mais originellement nommé l’OSARN (Organisation secrète d’action révolutionnaire nationale), mobilise secrètement ses effectifs en région parisienne, les tenant prêts à intervenir, dissimulés à côté de différents dépôts d’armes.