Le professeur Lozac’hmeur vient de signer un nouveau livre qui s’annonce incontournable pour tous ceux qui s’intéressent à la franc-maçonnerie.
Un ouvrage sous-titré avec pertinence « recherches sur une religion d’État »…
Il s’agit d’une étude originale et des plus sérieuses.
Paru aux Éditions des Cimes. 216 p., index des noms. 18 €. Disponible ici.
Présentation de l’éditeur et sommaire ci-dessous.
On peut trouver les précédents livres de Jean-Claude Lozac’hmeur ici.
4e de couverture :
« Qu’est-ce que la franc-maçonnerie ? D’où vient-elle ? Quel est son secret ? Quels sont ses objectifs ? Telles sont les questions auxquelles il est répondu dans cet ouvrage.
Après avoir dans un précédent livre démontré que le culte des « Fils de la Veuve » est la forme moderne d’une antique religion à mystères opposant un « Dieu Civilisateur » à un « Dieu Tyrannique » identifié au Dieu de la Bible, l’auteur conduit dans ces pages sa recherche à son terme. En effet, si, comme tout l’indique, les Initiés travaillent au retour de l’Âge d’Or, il importe de savoir ce que sera la société dont ils préparent l’avènement. C’est ici que l’étude systématique des différentes composantes de la Franc-Maçonnerie apporte de précieuses informations.
Les rites du Compagnonnage, le culte d’Osiris et celui de Mithra, dévoilent l’essence même de ce monde à venir, à savoir sa haine inexpiable à l’encontre du Dieu du Décalogue et de l’Incarnation. L’Alchimie, la Rose-Croix et la Kabbale complètent le tableau. Totalitaire et résolument prométhéenne, cette civilisation aura pour objectif la divinisation de l’Homme par le développement des sciences et des techniques. Dans cet univers globalisé d’où famille et patrie auront disparu, on pratiquera l’eugénisme et l’euthanasie. L’individu, libéré des règles de la morale, pourra s’adonner aux passions les plus viles. Quant aux religions, elles auront été unifiées au sein d’une « Eglise Universelle » ayant pour loi la « religion de Noé » chère aux Kabbalistes.
Au sommet de cet univers pyramidal et rationalisé, un surhomme jouissant de tous les pouvoirs (« le Soleil » de Campanella) imposera sa loi à la terre entière. »
SOMMAIRE :
• Préface
• Introduction
• La Gnose Transhistorique
• Le Compagnonnage
• Le culte d’Osiris
• Le culte de Mithra
• L’Alchimie
• La Rose-Croix
• La Kabbale
• Le Néoplatonisme
• CONCLUSION GÉNÉRALE
• Annexe I : Le Saumon de la Connaissance
• Annexe II : Note sur le Néoplatonisme
• Annexe III : L’inférence par induction incomplète suffisante
• Index des noms cités
• Table des matières
Bonjour,
je me souviens de lectures au sujet de la Kabbale, ou cabbale, dans « Contes et Légendes d’Israël », aux Editions Fernand Nathan, qui n’avaient pas du tout l’allure sinistre qu’elle a dans cet article.
C’était une science réservée aux gens vertueux. A tel point que s’ils avaient fait quelque chose de très mal dans cette existence, son étude leur était définitivement interdite. Comme un comte s’en aperçut, à ses dépens, couvert de honte par un crime qu’il avait commis, qu’un maître cabbaliste lui mit en face de lui-même, en lui disant, « Celui qui s’adonne à l’étude de la cabbale doit pouvoir regarder dans le passé sans difficulté. » et, lui faisant souvenir d’un assasinat commis lâchement contre un adversaire, lui disant, « Vous l’avez tué, alors que vaincu, il demandait grâce. La cabbale vous est interdite ! »
Je crois qu’il peut être utile de savoir à qui l’on a affaire, s’agissant de francs-maçons ou cabbalistes pervers, mais je ne crois pas que l’on doive s’appesantir sur le substrat initiatique dévoyé, répugnant, de ces gens-là.
« Ne pas voir le mal. », non pas inocemment, naïvement, mais le laissant dans son coin misérable, sans se souiller par sa contemplation ou son étude, inutiles pour une personne qui a un fond moral et, scientifique, sains et suffisants pour suivre une voie pieuse et bienfaisante.
A propos de Prométhée. Christine Tasin, qui se dit athée, a écrit dans un article de Riposte Laïque que c’était Prométhée qui l’avait délivrée de la religion. Mais elle ne dit pas ça avec un acharnement malsain, sinon plutôt comme une expression littéraire, une image sans absolu, pour expliquer sa disposition actuelle envers la religion.
De mon côté et, comme je l’ai déjà communiqué à d’autres personnes, j’ai remarqué que le dieu de mon grand-père n’était pas un dieu d’amour, mais une sorte de comptable théocratique, avec un livre de comptes énorme sous le bras, toujours parfaitement à jour, prêt à assener à mon grand-père ses dernières fautes, sur un ton sans pitié, « Qu’as tu fait de ta semaine, misérable créature imparfaite ? Pas grand-chose de bien, comme d’habitude, allongeant la liste des choses dont tu m’es débiteur…..! »
Ainsi, mon grand-père avait toujours ses crises cardiaques le dimanche, qui souvent commençaient en l’église où nous allions, Saint Louis de Port-Marly, où officiait le chanoine Gaston Roussel. Là-dessus, des voisins témoins de ce qui lui arrivait le ramenaient couché sur la banquette arrière d’une voiture, en disant en arrivant à notre domicile ce qu’il s’était passé à ma grand-mère. Un jour, où un malaise de ce genre lui était arrivé à la maison, vers la fin du déjeuner, ma grand-mère dit, « Ces choses-là, c’est toujours le dimanche que ça arrive….! »
Ce qui était naturel. Le dimanche, mon grand-père était en face de son créateur, sans possibilité aucune de sortie. Et ce créateur était un « dieu jaloux », qui ne tolérait pas les inconvenances de mon grand-père.
Il était effrayant de le voir devenir tout pâle sous son hâle d’ancien administrateur des territoires coloniaux français, puis, défaillant, de le voir obligé de s’allonger sur le tapis d’une des chapelles latérales de l’église, jusqu’à ce que lesdits voisins décident de le ramener en voiture à la maison.
En ce qui concerne le livre de l’auteur mentionné ci-dessus, le nombre et, la diversité des chapitres mentionnés dans la présentation du livre ne me semblent pas garants d’une rigueur scientifique évidente.
J’ai été lecteur du magazine « L’Autre Monde » maintenant disparu, pendant plusieurs années. Je ne m’intéresse ni à la « gnose transhistorique », ni au « compagnonage », ni au culte d’Osiris ni celui de Mithra, ni à l’alchimie, ni à la « rose-croix », ni à la kabbale, ni au « néoplatonisme »….
Dans un message à Riposte Laïque, j’ai dit que Pierre Cassen, qui le dit dans une de ses vidéos, avait donc cessé de croire à un dogme, mot utilisé assez fréquemment par Oskar Freysinger. Ce qui est bien le problème. Si la religion chrétienne est mise sur le même plan qu’une aberration, un phénomène monstrueux peut-être en rapport avec des cycles telluriques ou cosmiques de décadence apparaissant presque fortuitement comme la pseudo-religion islamique, c’est très grave. Une sorte de défaitisme et, fatalisme, du chef de Riposte Laïque et de sa compagne, est en somme le résultat d’une instruction religieuse insuffisante, qui à moment donné de leur existence leur barre le champ de vision, l’horizon intellectuel et spirituel, dont ils auraient besoin pour garder paisiblement la foi en un enseignement donné.
Pour conclure, je dirai que je ne ressens pas l’utilité de m’adonner à une étude d’éléments…. anti-gnostiques, il faut bien le dire, préférant l’étude de textes édifiants, favorisant les sentiments élevés, avec ce principe dont je ne sais plus bien l’origine, ne pas faire le mal, et, pour cela, ne pas le voir, ne pas l’écouter, ne pas y penser…. pour ne pas rester en familiarité avec celui-ci.
Je pense que chacun, avec ses dispostions spirituelles propres, peut progresser de cette façon.