comme chaque année s’est tenue une émouvante cérémonie sur la tombe du lieutenant Roger Degueldre, à l’initiative du CNC, avec Roger Holeindre, et avec la présence de militants du Renouveau français. J’y étais.

Ci-dessous un texte de José Castano à ce sujet :
« Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM – R.D –
C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que dg prit sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur! », avait justifié son action dans l’OAS par ces mots : « Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre.
Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure ! »
Le lendemain, 6 juillet 1962, à l’aube, au fort d’Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu’il avait choisi comme linceul.
Autour de son cou, il avait noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.
« Dites que je suis mort pour la France ! » s’écria-t-il à l’adresse de son défenseur.
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Et signait des « accords de paix » – ce qui fut vécu par de nombreux catholiques comme une trahison – aux conséquences sanglantes.
Le clergé se rebiffa et suspendit le 31 juillet 1926 l’administration des sacrements dans tout le pays pour une durée de trois ans. Les paysans indiens du Jalisco se soulevèrent contre les autorités de la capitale au cri de « Viva Cristo Rey !» (Vive le Christ-Roi !), dans un parallèle frappant avec le soulèvement des Vendéens en 1793, en lutte contre les Républicains. Ils furent appelés les Cristeros.
Dans les Contemplations, Victor Hugo rapporte comment Nathan Rothschild gagna, en cette occasion, plus de trente millions de livres (averti de l’issue avant la bourse de Londres, il fit courir une rumeur de défaite et acheta à la baisse tout ce qu’il put trouver de rente) :
Le texte ci-dessous, de 2010, n’a rien perdu de sa valeur.

C’est à Paris que s’éteint le grand écrivain Jean Mallard, vicomte de La Varende, qui a longuement et magnifiquement décrit la géographie, l’histoire et les mentalités de la Normandie, où il était né le 22 mai 1887.

