
L’Assomption désigne l’élévation aux Cieux de la mère du Christ, corps et âme.
La Sainte Vierge – qui selon la doctrine catholique tient dans l’humanité une place si particulière – quitta ce monde d’une façon extra-ordinaire : son corps étant préservé de la corruption que connaissent les cadavres, tout comme son âme avait été préservée de toute corruption du péché.
C’est la principale fête mariale.
En France, s’ajoute au 15 août le caractère de fête nationale, depuis Louis XIII (et officiellement jusqu’en 1880).
Voyez ci-dessous, en comparant les origines des deux fêtes, comme on est loin du 14 juillet qui commémore la naissance mythologique de la République dans la haine et dans un bain de sang bien réels….
En 1637, après vingt-deux ans de mariage, le roi n’avait toujours pas d’héritier et la France était dans une guerre difficile.
Le souverain prépara un vœu qui consacrerait la France à Notre-Dame de l’Assomption, plaçant la nation sous la protection de la Sainte Vierge ; on disait qu’il y pensait depuis longtemps.
En novembre 1637, un texte fut enfin soumis au Parlement.
Puis soudain, la bonne nouvelle tomba : la Reine était enceinte !
Le vœu fut finalement signé par le Roi le 10 février 1638, comme un remerciement, et instaura les processions du 15 août en hommage à Notre-Dame de l’Assomption.
Le 5 septembre 1638, naquit le dauphin de France, futur Louis XIV.
Du fait de sa naissance vue comme quasi-miraculeuse, il reçut le nom significatif de Louis-Dieudonné (« donné par Dieu »).
Ce vœu fut publié sous la forme d’un édit dont voici le texte intégral :
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Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.
Il y a cinquante ans environ, alors que De Gaulle avait trahi et abandonné l’Algérie aux égorgeurs du FLN, des Français manifestaient pacifiquement rue d’Isly à Alger.
1351
1763


Les derniers coups de feu continuent de briller
Au Portugal, la monarchie est décapitée par la Franc-maçonnerie : le roi Charles et le prince héritier Louis-Philippe sont assassinés par l’instituteur Manuel Buiça et l’employé Alfredo Costa, tous deux maçons (et membres de la Charbonnerie).
en 52 avant notre ère, à la suite de rumeurs de troubles à Rome, le signal général de la révolte gauloise est donné, vraisemblablement à l’occasion de la fête druidique du 6e jour de la lune du solstice d’hiver, dans la fameuse forêt des Carnutes.
L’âme de ce sursaut s’appelle Vercingétorix. Il est le fils de Celtillos, qui avait tenté de faire l’unité des Gaulois, et en était mort.
À la fin de -53 et au début de -52, les alliés traditionnels des Romains avaient peu à peu fait défection et s’étaient rangés sous sa bannière.