Selon Rachida Dati, les jihadistes « français » ne sont pas liés à l’immigration ! Et « encore moins à l’islam » !

CI-datiExtraordinaire culot de l’ancien ministre qui, interrogée sur France 2, ose cette énormité.

Mais au nom de quoi des fanatiques vont-ils se faire tuer et massacrer au Moyen-Orient ? En quête de quel paradis agissent-ils ? Pas le paradis

chrétien en tout cas, et pas sur l’incitation de l’Evangile ou selon l’imitation du Christ…

Du point de vue racial, les médias et les politiciens sont trop heureux d’avoir trouvé un authentique Français s’étant fait tuer en Syrie, après s’être converti (à quoi ? A-t-on encore le droit de le dire ?).
Ils omettent la cinquantaine d’autres radicaux musulmans exportés par la France et tués aussi, qui sont tous des étrangers à papiers français.
Ils se gardent bien d’évoquer aussi les circonstances générales dans lesquels des Français se convertissent à l’islam ; à savoir une immigration de peuplement sur notre sol (qui les met en contact avec des prosélytes), la destruction des repères identitaires et civilisationnels français, l’éradication minutieuse de la Religion, l’ethno-masochisme qui fragilise leur personnalité, etc.

C’était un 16 novembre : la fin de la Cagoule

Dans la nuit du 15 au 16 novembre 1937, le CSAR (Comité secret d’action révolutionnaire), dit « la Cagoule » mais originellement nommé l’OSARN (Organisation secrète d’action révolutionnaire nationale), mobilise secrètement ses effectifs en région parisienne, les tenant prêts à intervenir, dissimulés à côté de différents dépôts d’armes.
S’appuyant sur des notes du 2e Bureau, ils attendent un coup d’Etat communiste pour la nuit.

Provocation ou reculade : rien n’arrive.
L’équipe dirigeante du CSAR renonce finalement à son contre-putsch.
Dès le 16, la police va démanteler cette véritable armée secrète nationaliste.

Pour découvrir l’histoire de la Cagoule, vous trouverez un excellent article dans la revue L’Héritage n°8, sur cette « aventure nationaliste hors du commun ».

Manifestation de 80 000 nationalistes à Varsovie

Compte rendu du RF :

Chaque année, le 11 novembre, se tient à Varsovie une « Marche de l’indépendance », organisée par la coalition patriotique « Ruch Narodowy » (« Mouvement national »).

Cette fois encore, à l’invitation des organisateurs, le Renouveau français a envoyé une délégation.

La manifestation a connu un vif succès, avec environ 80 000 participants affichant un patriotisme décomplexé, dont une large part de jeunes.

Présents pour beaucoup longtemps avant le rendez-vous officiel, les patriotes ont empli une immense place au cœur de la capitale, avant d’entendre quelques discours, dont celui de notre directeur.

Pologne-discours-Thibaut

Thibaut de Chassey a notamment assuré les manifestants de la sympathie et du soutien des nationalistes français, avant de les féliciter pour leur vive opposition à la déferlante des mœurs contre-nature dans l’espace public.

Pendant des heures, un très long cortège a traversé la capitale dans une atmosphère sereine et convaincue, au slogan de « Dieu, honneur et patrie ! » avant d’aboutir près du stade national, où des heurts ont éclaté avec les forces « de l’ordre », tandis que les responsables nationalistes polonais haranguaient la foule.

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C’était un 9 novembre 1794 : la République massacrait encore des Français

Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur système.

Ce 9 novembre donc, Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fait incendier et massacrer la population de Bédoin, au pied du mont Ventoux.

Quel acte extraordinaire peut-il justifier de telles représailles ?

Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…

Cinq cents maisons sont détruites par le feu, soixante-trois habitants sont fusillés ou guillotinés.

C’était un 6 novembre 1917 : la « Révolution d’octobre »

La prise du Palais d’Hiver en octobre 1917

Dans la nuit du 6 au 7 novembre 1917, les bolcheviques s’emparent des principaux centres de décision de la capitale russe, Petrograd (anciennement Saint-Pétersbourg).
Dans la terminologie bolchevique (on dira plus tard communiste), ce coup de force sans véritable soutien populaire est baptisé « Révolution d’Octobre » car il s’est déroulé dans la nuit du 25 au 26 octobre selon le calendrier julien en vigueur dans l’ancienne Russie jusqu’au 14 février 1918.

«Jamais une échauffourée de si petite envergure (une dizaine de victimes, d’après les historiens soviétiques) n’a eu des conséquences aussi prodigieuses, et une fois de plus, le sort de la capitale décida de celui du pays tout entier», écrit Léon Poliakov.

Avec seulement quelques milliers d’activistes et une préparation au grand jour, les communistes – farouchement déterminés – arrivent à prendre le pouvoir dans un empire de 130 millions de personnes.

Avis aux amateurs…

Il y a 70 ans : mort d’Alexis Carrel

Alexis Carrel fut l’un des plus grands savants de la première moitié du XXe siècle : pionnier de la chirurgie vasculaire, il obtint en 1912 le prix Nobel de physiologie ou médecine « en reconnaissance de ses travaux sur la suture vasculaire et la transplantation de cellules sanguines et d’organes», devenant à l’époque à la fois le plus jeune lauréat et le premier scientifique récompensé pour ses travaux hors de son propre pays.

Converti au catholicisme, il fut un défenseur de l’écologie et de l’ordre social.

Il s’est fait mondialement connaître par la publication de L’Homme, cet inconnu (disponible ici) en 1935.
Nous recommandons aussi ses Réflexions sur la conduite de la vie.

Aucun représentant officiel n’assista à ses obsèques, le dr Carrel ayant eu le tort de travailler de concert avec l’Etat français du maréchal Pétain.
Petit à petit les rues et collèges Alexis Carrel sont débaptisées…

Nous reviendrons prochainement sur sa vie et son œuvre.

François Bayrou inaugure une « allée Abd El-Kader »

Dans un élan de clientélisme et de mépris de soi, le politicien et maire de Pau François Bayrou a inauguré le 25 octobre une « allée Abd El-Kader ».

Pour rappel, l’émir Abd El-Kader est ce chef local d’Algérie qui a mené de 1832 à 1847 une guerre farouche à l’armée française (et à d’autres tribus algériennes d’ailleurs).

Il faut souligner qu’Abd El Kader, présenté comme un lettré tolérant, se battait pour permettre sur place la perpétuation des harems et de l’esclavage.
Durant ces quinze années de guérilla antifrançaise, il y eut quelques trêves ; et au cours de l’une d’elles, les Français acceptèrent de rendre à l’émir une centaine de ses esclaves noirs, qui avaient cru trouver la liberté en se réfugiant sous notre drapeau. Abd el-Kader les fit tous décapiter. De même, un certain nombre de soldats français capturés ont fini égorgés.

François Bayrou a choisi de procéder à l’inauguration en compagnie d’Azouz Begag, ancien ministre à « l’égalité des chances », qui déclarait en 2005 au magazine Respect (sic), à destination de ses congénères : « Il faut traverser le périphérique, aller chez les indigènes là-bas, les descendants de Vercingétorix… Il faut casser les portes, et si elles ne veulent pas s’ouvrir, il faut y aller aux forceps. Partout où la diversité n’existe pas, ça doit être une invasion de criquets, dans les concours de la fonction publique, dans la police Nationale. Partout de manière à ce qu’on ne puisse pas revenir en arrière. »

Source ici et