« Le scandale des éoliennes » : émission du 16 février sur Radio Courtoisie

Pour cette émission diffusée en direct sur Radio Courtoisie le 16 février 2017 à 21h30, je recevais :

  • Jérôme Bourbon, directeur de l’hebdomadaire Rivarol et du mensuel Ecrits de Paris.

Annonces :

♦  Samedi 25 février, de 15h à 18h : Alban d’Arguin signera son livre Éoliennes, un scandale d’État à la Librairie française.

♦  Samedi 4 mars, de 15h à 18h : Louis de Condé signera ses divers recueils de poèmes à la Librairie française.

Vous pouvez écouter la radio en direct sur son site ou sur la bande FM :

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C’était un 10 février…

1763 : fin du Canada français.
Ce jour-là est en effet signé le tragique Traité de Paris, qui met fin à la guerre de Sept ans entre les Français et les Anglais. Malgré la défense de Montcalm, les Anglais, qui avaient profité des guerres menées par Louis XV pour s’attaquer à la Nouvelle-France, s’emparent du Canada.
La France perd le Canada et les Indes et ne conserve que la Guadeloupe, la Martinique et Saint-Pierre et Miquelon.

1937 : mort du capitaine Henri Bonneville de Marsangy, à Llanes dans les Asturies, à la tête de la 2e compagnie du bataillon San Fernando de la 6e Brigade de Navarre.

Emblème de la Bandera Jeanne d’Arc

Il fut l’un des chefs de la Bandera Juana de Arco (Jeanne d’Arc) qui combattit aux côtés des troupes du général Franco contre les républicains.
Elle avait été organisée par le général Lavigne-Delville et comprendra jusqu’à trois mille volontaires. Bonneville participa aux combats de Mérida, Badajoz, Madellin, Talavera, ainsi qu’à la libération de l’Alcazar de Tolède. Son fils, Roland Bonneville de Marsangy, officier parachutiste, tombera à 25 ans, à Dien Biên Phu.
A propos des « volontaires étrangers de Franco », Sylvain Roussillon a signé un livre de référence, disponible ici.

La peur de Hollande ?

Le fait que Hollande aille se pencher sur le fondement endolori de « Théo », alors qu’il ne s’est quasi jamais déplacé à l’hôpital pendant son quinquennat pour visiter les dizaines de milliers de victimes de sa politique cosmopolite (y compris les policiers), traduit peut-être (ou même surtout) – au-delà d’un tropisme pour ce qui est étranger – la peur d’un embrasement des banlieues ethniques façon 2005, ce qui favoriserait fortement le FN lors des élections prochaines.

C’était un 6 février…

1934 : à l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotes, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et policiers. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

22 Français mourront sous les balles de la République et plus d’un millier sera blessé.

La Gauche prétendra qu’il s’est agi d’une tentative de « coup d’Etat fasciste » et à son arrivée au pouvoir en 1936, dissoudra les puissantes ligues.
Côté patriote, les déçus de l’attitude de Maurras (maniant la plume dans les locaux du journal ce soir-là, pendant que les militants se battaient et souhaitaient pour nombre d’entre eux prendre la Chambre) vont créer une organisation clandestine qui fera beaucoup parler d’elle : « la Cagoule » (lire article ici).

Chaque année les nationalistes rendent hommage à ces morts.
Comme Robert Brasillach en son temps :

« Pour nous, nous n’avons pas à renier le 6 février. Chaque année nous allons porter des violettes place de la Concorde, devant cette fontaine devenue cénotaphe, en souvenir des vingt-deux morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seuls les révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais si le 6 fut un mauvais complot, ce fut une nuit de sacrifices, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d’une Révolution nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays. Qu’importe si, plus tard, tout a été exploité, par la droite et par la gauche, de ce feu brûlant, de ces morts qui ont été purs. On n’empêchera pas ce qui a été d’avoir été. »

Robert Brasillach, in Notre avant-guerre.

1945 : mise à mort du poète et journaliste nationaliste Robert Brasillach, à l’âge de 35 ans, victime de l’Épuration. [livres de lui et sur lui ici].

Les derniers coups de feu continuent de briller
Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres.
Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ?
Je pense à vous ce soir, ô morts de Février.

Robert Brasillach, 5 février 1945

Ses Poèmes de Fresnes méritent de figurer dans les bibliothèques des patriotes. Ils ont été l’objet d’une heureuse réédition dont voici la 4e de couverture :

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C’était un 1er février… 1908 : la monarchie portugaise assassinée par la Franc-Maçonnerie

portugalAu Portugal, la monarchie est décapitée par la Franc-maçonnerie : le roi Charles et le prince héritier Louis-Philippe sont assassinés par l’instituteur Manuel Buiça et l’employé Alfredo Costa, tous deux maçons (et membres de la Charbonnerie).

Ils ont fait feu puis bondi sur le carrosse royal. Le roi est mort immédiatement, le prince héritier a pu répliquer de quelques coups de feu (non fatals) sur les assaillants, et la reine (comme on le voit ci-contre) a tenté de s’opposer à eux avec son bouquet de fleurs.

Dès 1910, la République est proclamée et le chef du Grand Orient du Portugal, Magalaes Lima, entre au gouvernement.

Les deux assassins ne survécurent pas à leur forfait : blessés au cours de l’attaque, ils furent tués non loin du lieu du drame par des agents de police (dont un, non identifié). Peut-être dans le but qu’ils ne révèlent rien sur les commanditaires précis ?
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