Jean-Luc Mélenchon : faux rebelle, vrai mondialiste

 

UNE IDÉOLOGIE MORTIFÈRE

Se présentant lui-même comme un « rouge »[1], admirateur du sanglant Robespierre[2], ancien militant de l’Organisation communiste internationaliste (groupe trotskyste particulièrement sectaire), Mélenchon est un idéologue forcené, nourri de références marxistes. Il ne voit d’ailleurs « pas le problème » à être communiste : c’est vrai, qu’est-ce que 150 millions de mort après tout ? Pour ce négationniste, « Non, les communistes n’ont pas du sang jusqu’aux coudes. »  [3] Il sait toutefois s’aligner sur la politique internationale du camp libéral-mondialiste, ayant par exemple soutenu la guerre catastrophique menée par Sarközy en Libye.

HOSTILE A LA NATION

Hostile aux frontières nationales en vertu de son idéologie cosmopolite (comme le Grand Capital), Mélenchon est partisan du mondialisme et de la soumission de la France à l’Union européenne : il a milité pour le traité de Maastricht et pour l’abandon de notre monnaie. Un certain nombre des mesures qu’il propose n’est d’ailleurs pas applicable en vertu de notre absence de politique monétaire propre et de la soumission du droit français au « droit européen », dont il n’est généralement que la retranscription. Pas de nation sans frontières : Mélenchon n’est donc pas un partisan de la nation française au sens classique et historique du terme ; il est partisan de l’idéologie républicaine et confond République et France. Cette dernière n’est pour lui qu’un ensemble à vocation « universaliste », sans contenu propre, si ce n’est une idéologie récente, celle qu’il a choisi.

HAINE DU CHRISTIANISME

Jean-Luc Mélenchon ne supporte pas que la religion catholique, fondatrice de notre nation et dans laquelle se reconnaissent de nombreux Français, puisse avoir encore un peu de visibilité sociale. Son combat contre les crèches dans l’espace public est emblématique.
Il ne peut retenir un cri du cœur à la télévision : « Fichez-nous la paix avec la religion ! » [4] . Il veut même abolir le régime concordataire en vigueur en Alsace-Moselle.

Sa haine de la religion catholique le pousse aussi à vouloir supprimer l’enseignement privé sous contrat,[5] en dépit du succès qu’il rencontre auprès des Français.

A cette religion, il préfère celle du Grand-Orient, obédience maçonnique laicïste dont il est membre depuis 1983.

FAUX DEFENSEUR DES TRAVAILLEURS

Il ne cherche pas à défendre les travailleurs français, contrairement à ce qu’il veut faire croire. Il est là pour faire avancer une idéologie, qui est, entre autres choses, immigrationniste. Or, il est bien sûr contradictoire de vouloir le bien des travailleurs français (6 millions de chômeurs, et davantage encore de pauvres) tout en voulant régulariser les clandestins et faire entrer des millions d’étrangers qui prendront les places, en faisant en plus une pression à la baisse sur les salaires.

« Je suis absolument certain d’une chose; c’est que le Parti Communiste Français, comme moi, dit qu’il faut régulariser tous les travailleurs sans-papiers de ce pays. »[6]

UN PARTISAN DU GRAND REMPLACEMENT

« Le pays a changé et nous sommes contents qu’il ait changé comme ça. On est le peuple record d’Europe des mariages mixtes, c’est très bien, on est très contents.  J’ai regardé le bulletin des naissances qui paraît dans les Dernières Nouvelles d’Alsace, je l’ai lu ce matin et ça m’a beaucoup plu, je vois qu’il y a toutes sortes de prénoms exotiques. »

« Marseille nous dit que notre chance, c’est le métissage. Et depuis 2 600 ans, nous sommes du parti de ceux qui se disent contents d’être mélangés, fiers d’être le peuple qui compte le plus grand nombre de mariages mixtes de toute l’Europe !… Les peuples du Maghreb sont nos frères et nos sœurs. Il n’y a pas d’avenir pour la France sans les Arabes et les Berbères du Maghreb. » [7]

« Les Occidentaux ça n’a pas de réalité, personnellement je ne souhaite pas être un Occidental. Je ne veux pas être un Blanc catholique, je préfère être un Noir athée ».

Ses considérations francophobes avancent sur le terrain du racisme anti-blanc assumé :

« la couleur de peau : partout dominait en profondeur ce superbe marron que montrent les plus beaux êtres humains. »[8]

« Je ne supporte plus de vivre autrement que dans un endroit où les gens sont mélangés. Donc j’habite à Paris dans le Xe arrondissement. Je ne peux pas survivre quand il n’y a que des blonds aux yeux bleus. C’est au-delà de mes forces ».[9]

LE GOUT DU LUXE, AVEC L’ARGENT DU PEUPLE

Apparatchik socialiste, le franc-maçon Mélenchon n’a que brièvement travaillé. Conseiller général de l’Essonne pendant treize ans, ministre sous Jospin, sénateur presque vingt ans, député européen, il a vécu et vit toujours grassement payé par le peuple. Au-delà de son patrimoine (2,9 millions d’euros d’après le Canard enchaîné), cela lui permet d’assumer un certain train de vie : « Moi, quand je voyage, je voyage en classe affaire. J’ai passé l’âge d’aller me faire briser le dos à la classe économique. Ils vous mettent comme des sardines là-dedans. C’est une honte ! Le transport aérien, les trois quart du temps, est extrêmement désagréable. Ne me dîtes pas le contraire ».[10] A mille lieux des préoccupations du peuple, sur le dos duquel il vit depuis quarante ans…

 

[1] http://www.jean-luc-melenchon.fr/2015/06/25/hommage-a-francois-delapierre/

[2] http://www.contre-info.com/reconstitution-du-visage-de-robespierre-melenchon-ne-digere-pas-et-deraille

[3] 26 février 2012 ; dans l’émission Radio France politique

[4] Débat du 4 avril, BFMTV.

[5] http://www.contre-info.com/melenchon-prevoit-de-supprimer-lenseignement-prive-sous-contrat

[6] BFMTV, 14 février 2011

[7] 14 avril 2012, discours à Marseille.

[8] 16 juillet 2012, sur son blog.

[9] Hit Radio, 17 février 2013

[10] 24 juin 2013, « 13h15, le dimanche » sur France 2.

13 avril 1436 : prise de Paris par Arthur de Richemond. Une ancienne fête nationale oubliée !

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L’armée anglaise dans Paris compte environ 3 000 hommes et est soutenue par l’université de Paris. 2000 routiers et écorcheurs la renforcent. La garnison attend également un renfort de 3 000 Anglais.

L’armée française est dispersée et, seul contre presque tous, le connétable Arthur III de Richemont, duc de Bretagne, soutenu par d’anciens compagnons de la Pucelle d’Orléans tels La Hire, Jehan de Dunois, cousin naturel du Roi, Jehan de Brosse Maréchal de Sainte-Sévère et Jehan Poton de Xaintrailles conduit une armée de 5000 Bretons pour reconquérir Paris.

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