Ce jeudi 14 janvier à Blois, je serai à la soirée du « Cercle des Indépendants patriotes » (interventions, dîner, rencontres…). Si vous voulez participer à cet événement de ce sympathique réseau professionnel regroupant indépendants et entrepreneurs, faites-moi signe rapidement et je vous mettrais en relation.
C’était un 5 janvier : mort de Charles d’Orléans
à Amboise, en 1465.
Capturé lors de la bataille d’Azincourt, en 1415, il demeura prisonnier des Anglais durant 25 ans.
C’est pour charmer l’ennui de sa captivité qu’il devint poète, cultivant la galanterie raffinée sous une pointe de mélancolie.
Libéré en 1440, il entreprit de conquérir le Milanais, qu’il tenait de droit par sa mère, mais ne put se rendre maître que du comté d’Asti. Il s’établit alors à Blois, où il tint une cour lettrée.
Il laisse une centaine de ballades, autant de chansons, et environ 400 rondeaux.
« Été revêt champs, bois et fleurs
De sa livrée de verdure
… Mais vous, Hiver, trop êtes, plein
De neige, vent, pluie et grésil
… Hiver, vous n’êtes qu’un vilain ! »
Ci-dessous sa fameuse Complainte de France
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Délégation à Varsovie
Compte rendu du Renouveau français :
« A l’invitation de nos partenaires polonais du mouvement « Jeunesse des Polognes » (Młodzież Wszechpolska) et du parti confédéral « Mouvement national » (Ruch Narodowy), une délégation du Renouveau français s’est rendue à Varsovie pour la journée de commémoration de l’indépendance de la Pologne, le 11 novembre.
Ce jour est depuis quelques années l’occasion d’une grande manifestation nationaliste organisée par nos amis, rassemblant habituellement entre 50 000 et 100 000 personnes célébrant l’indépendance nationale et exigeant « la Pologne aux Polonais » !
Les manifestants se rassemblent avant la marche.
Cette année nous avons eu l’heureuse surprise de voir plusieurs de nos camarades devenus députés les jours précédents. Les élections qui venaient de se tenir ont fait prendre au pays un « virage à droite » sérieux. L’assemblée nationale commence au « centre gauche » pour reprendre une terminologie moderne.
D’ailleurs, le nouveau président de la République André Duda a fait parvenir à la manifestation une lettre de salutations amicales ! De fait, il n’y eut aucun incident à déplorer, contrairement à l’année dernière, et la police était très discrète.
La manifestation fut un grand succès, la foule très nombreuse et sa jeunesse remarquable, confirmant qu’il souffle une brise agréable sur la Pologne.
Auparavant, notre délégation avait été invitée à une visite guidée du parlement polonais, où nos camarades nous ont présenté plus en détail le contexte politique local et leurs combats.
Ce séjour à Varsovie fut aussi l’occasion de nombreux contacts et discussions, tant avec les nationalistes polonais qu’avec les autres délégations européennes, notamment hongroise et italienne.
Alors que l’Europe est plus que jamais menacée d’une dramatique submersion migratoire, l’utilité d’une coopération entre nationalistes européens se fait particulièrement sentir.
Encore bravo et merci à nos camarades pour leur travail et leur accueil.
Délégation en Pologne
A l’invitation des nationalistes polonais, je me rendrai à Varsovie ces jours-ci avec une délégation du Renouveau français.
Au programme : rencontres et discussions avec les nationalistes polonais et les autres Européens qui seront présents, et participation, le mercredi 11 novembre, à la grande manifestation nationaliste annuelle (la « Marche de l’indépendance ») qui avait réuni l’an dernier environ 100 000 personnes.
Une visite du Parlement est aussi prévue, nos partenaires polonais ayant obtenu plusieurs sièges lors des récentes élections législatives.
Formation à Paris
C’était un 14 octobre…
1066 : bataille d’Hastings.
L’assaut est donné par le ménestrel (successeur des bardes) du roi, le fameux Taille-Fer. Les troupes de Guillaume le Conquérant, duc de Normandie, remportent la victoire sur Harold II, dernier roi anglo-saxon. La conquête de l’Angleterre par les Normands commence.
Le duc de Normandie étant vassal du roi de France, l’Angleterre le sera donc aussi. En théorie…
1702 : victoire du duc de Villars, à la bataille de Friedlingen, sur les Impériaux du prince de Bade. En cas de défaite, l’Alsace était perdue.
La bataille fut incertaine tant le rapport des forces ne penchait pas en faveur de l’armée française. A la suite de cette victoire, le duc de Villars fut proclamé maréchal de France, sur le champ de bataille, par les soldats. Le roi de France confirma quinze jours après.
Racket et répression des automobilistes : plus de radars, des « leurres », des lois idiotes et même des drones !
Toujours sous le prétexte hypocrite de « sauver des vies », Manuel Valls a annoncé en fin de semaine dernière la « rénovation et l’augmentation du parc actuel de radars » d’environ 10%. D’ici trois ans, le nombre de radars sur le bord des routes françaises sera de 4.700, contre 4.200 actuellement.
L’augmentation du nombre de radars sur le sol français sera accompagnée de l’installation de 10.000 « leurres » au bord des routes : des panneaux annonçant des radars n’existant pas ! Guère étonnant de la part de politiciens républicains mentant en permanence.
Une amende de 650 euros pour les entreprises qui ne « dénoncent » pas leurs chauffeurs ayant été « flashés ».
Les deux roues sont eux aussi harcelés, avec notamment une mesure ridicule (mais sûrement juteuse pour certains), consistant à imposer le port de « gants homologués » aux cyclomotoristes et aux motards. Il est certain que cela va faire baisser la mortalité.
Enfin, et c’est peut-être le plus inquiétant pour l’avenir, le Premier ministre a indiqué que les forces de l’ordre pourraient avoir recours aux drones pour procéder à des contrôles routiers pour une expérimentation dans un premier temps.
C’était un 20 septembre : la bataille des champs catalauniques
En l’an 451, les Huns connurent une défaite lourde de conséquences.
Cette confédération de barbares européens et asiatiques menée par Attila, dont le gigantesque empire était basé en Pannonie (Hongrie), entendait conquérir la Gaule.
Après avoir franchi le Rhin, les Huns détruisirent Metz. Mais ils se détournèrent de Paris suite à l’opposition menée par Sainte Geneviève, avant de se casser le nez sur la résistance d’Orléans. Quinze jours après, près de Chalons-en-Champagne se déroula la bataille des Champs catalauniques où les Huns furent battus par une coalition.
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Il y a cinq cents ans : la bataille de Marignan !
Cet épisode d’importance s’est déroulé en effet le 13 (et le 14) septembre 1515 en Italie, dans le Milanais.
Ce jour-là, les troupes de François Ier rencontrent les piquiers suisses (mercenaires au service du duché de Milan) dans une petite bourgade proche de la cité.
Après un essai de négociation, les Suisses attaquent.
Le roi, qui était à table, se lève et s’écrit : « Qui m’aime me suive ! », phrase passée à la postérité.
Au cours de ce combat long et furieux, l’artillerie et la cavalerie françaises ont raison des Suisses réputés invincibles.
Le lendemain, le roi de France – couvert de gloire après la victoire – est armé chevalier par le légendaire Bayard sur le champ de bataille.
La République, antifrançaise, ne commémore évidemment pas cet anniversaire d’heureuse mémoire.
C’était un 5 septembre…
1755 : début de l’expropriation et de la déportation impitoyable des Acadiens par les Anglais, connue sous le nom de « Grand dérangement ». Les Acadiens, Français installés en Amérique du Nord, peuplaient plusieurs régions du Canada actuel. La plupart d’entre eux furent victimes de ce « nettoyage ethnique » par les Britanniques : 15 000 déportés environ, dont beaucoup mourront au cours de ces tribulations, et dont de nombreuses familles furent dispersées.
1792 : fin des « Massacres de septembre », commencés trois jours plus tôt.
1 500 « suspects » ont été exécutés par la République dans les prisons parisiennes.
1793 : Bertrand Barrère de Vieusac, président de la Convention, déclenche une nouvelle vague d’arrestations. Il fait voter un décret stipulant : « la Terreur est à l’ordre du jour ». 12 000 personnes périront sans jugement parmi les 40 000 qui disparurent pendant la période.
1914 : héraut de Jeanne d’Arc et chantre de la patrie charnelle, l’écrivain Charles Péguy, lieutenant au 276e RI, tombe d’une balle en pleine tête à Villeroy (Seine-et-Marne), à la veille de la bataille de la Marne, alors qu’il entrainait ses hommes.
Après sa mort, Maurice Barrès écrit :
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